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26 janvier 2020 7 26 /01 /janvier /2020 20:44
Le meilleur de 2019 [1ère partie]

 

Puisqu’il parait qu’on peut souhaiter la bonne année jusqu’au 31 janvier, alors je ne vois pas pourquoi je devrais m’excuser de vous sortir mon bilan de l’année si tard ! Hein ? …Non ?

 

 

Bon, j’imagine effectivement que vous deviez être quelques-uns à attendre cet article avec impatience, ne serait-ce que pour savoir si ce blog était encore en vie ou pas. Parce bon, c’est vrai que le dernier article posté ici remonte à une année entière… Et c’était justement le bilan de l’année précédente. Alors du coup, OK – je le reconnais – ce n’est clairement pas le signe d’une grande vivacité. Donc en cela : Mea culpa. D’ailleurs c’est la première fois que ça arrive depuis sa création : 2019 est la première année où aucun article – mis à part les bilans de fin d’année – n’a été publié.

C’est d’ailleurs en partie pour cela que je vous parle dès le titre « d’année blanche »…

 

 

Alors du coup peut-on espérer voir repartir un jour ce blog ou bien faut-il au contraire s’attendre à d’autres années de ce type ?

Pour être honnête avec vous : franchement, je ne sais pas.

Même si je reconnais que le blog n’est plus du tout en vogue, j’y reste tout de même attaché. Et même si on n’est plus nombreux, je sais néanmoins qu’on reste quelques irréductibles à préférer lire un article plutôt que de devoir rester planté devant un gars qui fait du face-cam.

Malgré tout, plusieurs éléments me font effectivement poser des questions.

D’abord il y a le fait que cette plateforme Overblog soit vraiment pourrie et qu’elle ne me permette pas de faire ce que je veux (je pense notamment à l’affichage pour smartphone qui est totalement dégueulasse et sur lequel je n’ai absolument aucune prise) Et si d’un côté je me dis que je pourrais changer d’hébergeur ou bien carrément faire mon propre site, d’un autre côté je n’ai pas envie de perdre du temps à ça…

Et puis, à côté de cela, rentre aussi en compte le fait que, depuis peu, j’ai également changé mon approche de la critique. Depuis que je suis sur SensCritique je m’efforce d’être davantage dans l’analyse quand j’écris, si bien que la place laissée pour un article sur le même sujet devient plus ténue. Alors après ça ne veut pas dire que je laisse tomber l’idée d’écrire des articles pour autant. Mais bon, je pense que cette année blanche va m’obliger à penser les choses autrement pour l’avenir…

 

 

Voilà donc une première raison pour ce titre : « année blanche. »

Mais il y en a aussi une autre, plus cinématographique cette fois-ci.

Car faire le bilan de cette année, me concernant, c’est aussi constater une triste réalité : aucun film sorti en 2019 n’a atteint dans mon cœur la note suprême de « 5 étoiles » ; l’équivalent « SensCritique »  d’un 9/10 ou d’un 10/10. Et ça, c’est aussi la première fois que ça se produit sur ce blog.

Pourtant, quand je compare les notes de cette année avec celles de la précédente (que j’avais d’ailleurs trouvée plutôt bonne), les écarts ne sont pas flagrants. Sur 61 films vus en 2019 (soit exactement le même nombre qu’en 2018), 27 ont obtenu de ma part une note positive (6 et plus), 7 ont obtenu une note médiane (5), et 27 films autres ont quant à eux obtenu une note négative (4 et moins.) En 2018 les chiffres étaient respectivement de 23, 13 et 25. D’aucuns diraient qu’on est plus ou moins dans le même ordre d’idée, voire que 2019 donne même l’impression d’être une année encore meilleure que 2018.

 

 

Seulement voilà en 2018 j’avais un film à 10/10, cinq à 9/10 et 4 à 8/10…

En 2018 je n’ai que cinq films à 8/10. Et au-dessus : rien.

Autre signe peu flatteur, si je devais faire un top commun entre 2018 et 2019, les neuf premières places seraient occupées par des films de 2018 et mon numéro 1 de cette année se retrouverait relégué en queue de peloton.

Voilà donc : ça dit quand-même quelque-chose.

Donc autant vous le dire tout de suite : mon numéro 1 de cette année sera clairement un choix par défaut. Un très bon film que j’ai beaucoup aimé, certes, mais pas un top film dans mon esprit. (Et moi, ça, ça me blaze un peu…)

 

Alors bon, est-ce que ça augure d’une chute inéluctable ? Du pire pour la suite ?

Je ne sais pas. Je ne pense même pas.

2020 vient de commencer et j’ai déjà un film qui surclasse tous ceux dont je vais désormais vous parler. Donc j’ai envie de dire : vive 2020 ! …Mais bon, malgré tout, pour ceux qui voudraient néanmoins s’attarder sur cette année 2019 pour savoir ce que j’en ai retenu, voilà ce que j’ai a vous offrir.

 

 

 

 

 

Top 10

 

 

1. Mid 90’s

 

Je pense que ça en surprendra plus d’un de voir ce « Mid 90’s » en première position.

Je vais d’ailleurs être honnête avec vous : ça me surprend aussi.

Il fallait un numéro 1. C’est tombé sur lui.

Un numéro 1 par défaut vous disais-je. Mais un numéro 1 que j’assume malgré tout.

 

Il fait parti de ces rares films que j’ai pris la peine de voir deux fois cette année. Et la deuxième vision m’a conforté dans une évidence : ça m’a fait du bien de voir un long-métrage simplement juste.

Parce que oui, « Mid 90’s » est un film simple. Pas de pyrotechnie formelle. Pas de propos audacieux. Juste un témoignage. Celui d’un homme racontant son adolescence ; un homme cherchant à reconstituer une époque, pas seulement au travers de décors et de babioles, mais plutôt au travers d’un état d’esprit, d’une certaine manière de voir la vie.

 

Et au fond c’est ça que, moi, j’ai aimé dans ce film. Cet art du dépouillement.

Certes il n’y a pas grand-chose en termes de formalisme mais il y a ce qu’il faut.

Et surtout il n’y a rien en trop. J’aime cette capacité à ellipser, à shunter le superflu, tout ça pour mieux saisir et enchainer les moments qui ont du sens dans le parcours du jeune Steven.

J’aime ce regard totalement dénué de morale. Un gamin clope et s’acoquine avec des filles dès l’âge de treize ans ? Et alors ? On n’est pas là pour juger. On est là pour ressentir les choses du point de vue de Steven. On est là pour voir une période à travers un regard. C’est tout. Et ce regard, l’air de rien, il montre beaucoup de choses.

 

Alors d’accord, il n’est pas une révolution en termes de cinéma ce film.

Mais il sait être un film pur. Un film simple. Un film juste.

Et l’air de rien il y avait vraiment longtemps que je n’en avais pas vu.

Un film capable de trouver le bon équilibre entre « réalisme » cru et artifices suffisamment bien sollicités pour que l’ensemble prenne corps.

Or, de la chair, moi je trouve justement que ce film en a.

Et même plus que de la chair, ce qu’il y a dans ce film, c’est surtout toute une jeunesse.

 

Moi en tout cas ça m’a touché. Tout simplement.

Et qu’importe le simple au fond, tant qu’on a le juste.

 

 

 

2. Us

 

Deux films. Deux coups de cœur.

Jordan Peele et moi, ça commence à ressembler à une petite histoire d’amour.

Alors je suis d’accord avec ses détracteurs : c’est vrai qu’il est loin d’être parfait ce « Us ». Peut-être même y va-t-il un peu à la truelle au niveau de ses symboliques et de sa lecture marxiste de la société américaine. Mais bon, il y a trop d’audace, de bonne volonté et de choses réussies dans ce film pour que je ne m’y retrouve pas.

Tout d’abord – et cela même si je reconnais ses limites – moi ça me fait plaisir de voir un film qui se risque à une lecture politique un petit peu moins policée que d’habitude. Poser les rapports de classes comme étant clairement des rapports de soumission et surtout des rapports violents, moi ça me revigore un peu. Donc, rien que pour ça : très bon point.

Mais n’oublions pas que derrière ça, il y a aussi et surtout une mise en scène. Jordan Peele sait mettre en place des espaces et des dynamiques. C’est un esthète. Et ce n’est d’ailleurs pas un hasard si ses symboliques passent aussi bien chez moi : quand on m’offre un espace sensoriel aussi riche de signification, moi j’adhère très rapidement.

Et puis l’air de rien, ce film est quand même sacrément ambitieux en termes de cinéma. Le film se déroule clairement en trois temps, avec une première phase plutôt orientée « angoisse » ; une seconde plus « slasher décomplexé » et enfin une troisième plus fantastique et allégorique. Trois phases qui participent à l’enrichissement de l’œuvre et surtout à ce sentiment que j’adore au cinéma : l’idée de suivre une œuvre singulière dont on ne sait pas vraiment où elle va nous emmener.

Bref, pas irréprochable, mais terriblement généreux.

« Us », c’est l’un de mes gros coups de cœur de l’année.

 

 

 

3. Joker 

 

Il y a un tel consensus autour de ce film que je ne sais même pas s’il est nécessaire que j’explique pourquoi je le positionne ici, sur la troisième marche de ce podium.

Oui je le place là parce que ça fait du bien de voir à nouveau la culture du comic-book – et en l’occurrence l’univers « Batman » – être à nouveau traitée ainsi, comme du cinéma d’artiste, du cinéma formaliste, du cinéma discursif.

Oui je le place là parce que Joachim Phoenix livre encore ici une sacrée performance d’acteur phénoménale.

Et oui je le place là parce que derrière tout ça, « Joker » dit quelque-chose de notre monde, de notre actualité, ce qui le reconnecte en conséquence à une certaine culture du comic-book.

Et c’est peut-être d’ailleurs ce dernier moins qui, moi, me parle le plus. Alors que depuis une bonne dizaine d’années Hollywood s’était décidé à traiter la culture comic avec le même mépris qu’à l’époque des « Spawn » et autres « Batman Forever », en faisant de simples distractions sans aucune prétention discursive et artistique (et dans lesquels on peut se distraire pleinement hein, là n’est pas la question), moi ça m’a fait plaisir qu’un gars ait décidé de revenir vers quelque-chose de plus ambitieux et surtout de plus « engagé » ; un terme que j’emploie clairement dans sa dimension pleinement artistique.

Alors après, il n’est pas non plus exempt de tout reproche ce « Joker » mais bon ça ne retire rien à la puissance suggestive de ce qu’il offre.

Une grosse claque de 2019, assurément.

 

 

 

4. Midsommar

 

Dernier film vu de cette année 2019.

C’était d’ailleurs parce que je voulais le voir avant de faire ce top que j’ai tant tardé à rédiger cet article. Un calcul qui n’a pas été vain donc puisque, comme vous pouvez le constater : ce « Midsommar » se retrouve au final plutôt bien classé dans mon top.

En même temps, de la part de l’auteur de « Hérédité », c’était à prévoir. Quiconque a d’ailleurs déjà vu ce premier long métrage de l’auteur comprendra tout de suite les attentes qu’on peut mettre dans ce « Midsommar ».

Et effectivement, je n’ai pas été déçu. J’ai eu ce que j’attendais.

J’ai peut-être d’ailleurs eu un peu trop ce que j’attendais, car entre ce « Midsommar » et « Hérédité », il y a quand-même beaucoup de ressemblances, à tel point que le second apparait comme une sorte de jumeau « clair » du premier.

Malgré tout, un élément participe clairement à la singularité de ce film : c’est justement son atmosphère très lumineuse ; immaculée.

Là-dessus ça marche du tonnerre et rien que pour cela, moi je trouve que ça fait son office.

Parce qu’au-delà de ça, toutes les mécaniques de « Hérédité » sont mobilisées à nouveau. Un travail formel très propre, clinique, sachant produire les impacts voulus sur un spectateur en proie à la vulnérabilité.

Du très bon cinéma.

Moi, en tout cas, ça m’a fait du bien.

 

 

 

5. Seules les bêtes

 

Peut-être le film de ce top que j’ai le moins vu venir.

J’y suis allé à l’arrache en me disant : « Tiens donc ! Un film de Dominik Moll ! »

Et puis « bim ! » …Bah, je me suis pris un film de Dominik Moll dans la face quoi.

Alors – encore une fois – on pourra trouver des choses à lui redire à ce film, notamment certains enchainements un brin téléphonés ou forcés. Mais bon, le cinéma c’est aussi un peu ça : un certain détachement du réel pour mieux le fantasmer et le peindre.

Et c’est vrai que ce film, a bien le regarder, à quelque-chose d’un peu fantasmagorique tant il finit par ressembler à une sorte de conte ancré dans des tranches de réels qui ne sont pas forcément faites pour communiquer ensemble.

Il en ressort une sorte de lecture cynique du monde que je trouve assez pince-sans-rire et surtout plutôt jouissive à regarder. Parce qu’au-delà du ton, il y a aussi cette narration qui sait faire son office : une sorte de polar à révélations qui sait capter l’attention et intriguer à la fois.

Tout ça a abouti chez moi en un très bon moment ; avec beaucoup de personnalité.

Ce film va clairement finir dans la DVDthèque.

Un petit régal que je vous conseille.

 

 

 

6. The Lighthouse

 

Quand j’ai écrit ma critique au sortir de ce film, j’avais conclu en disant : « Je ne peux m’empêcher d’avoir cette impression d’avoir vu un chef d’œuvre amputé de quelque-chose de majeur.Mais de cela, moi-même je n’arrive même pas à m’en convaincre pleinement. Peut-être ai-je besoin de laisser vivre ce film en moi encore un peu. Peut-être que dans quelques mois ou quelques années, mon discours aura considérablement changé. »

C’était le 20 décembre 2019. Au moment où j’écris ces lignes on est le 25 janvier 2020.

Un mois s’est écoulé et pourtant ce film m’obsède toujours autant. Il m’a fallu en conséquence me rendre à l’évidence : « The Lighthouse » n’est pas simplement un bel exercice d’esthète à la photographie sublime, il est quand-même aussi une sacrée expérience de cinéma.

Alors oui, c’est éprouvant. Parfois c’est long. Ça peut se répéter. Je ne justifie pas tout.

Mais clairement ça se pose là. Ça laisse une marque. C’est pénétrant.

Je n’arrive même pas à en dire davantage.

Voyez « The Lighthouse. »

 

 

 

7. La favorite

 

De Yourgos Lantimos j’avais déjà vu « The Lobster » mais je n’ai toujours pas encore vu « La mise à mort du cerf sacré ». Deux films qui suffisait pour me poser cet auteur fantasque dans la case des réalisateurs à films perchés. Du coup son passage par la case « film historique » m’a un peu surpris, mais après avoir vu cette « favorite », cette démarche prend tout son sens.

Certes, « la favorite » est un film en costume dont l’intrigue est empêtré dans les conventions de son univers aristocratique. Mais loin d’être une prison pour l’ami Lantimos, ce cadre est l’espace idéal pour faire dégénérer ses protagonistes, pour les / nous conduire vers une sorte d’ambiance froide et malsaine dans laquelle l’humanité de chacun fini par s’éventer.

C’est propre et efficace. Ça titille l’humain comme j’aime bien. C’est remarquablement interprété.

Un vrai plaisir qui a toute sa place dans ce top.

 

 

 

 

 

8. Once Upon a Time In… Hollywood

 

 

Ce film m’agace parce qu’on y retrouve toutes les simagrées de Tarantino que je n’aime pas.

Seulement voilà, force m’est de constater qu’au milieu de tout ça, il y a le Tarantino que j’adore. Et rien que pour ces moments là, ce film, je l’aime.

Alors OK, sûrement que dans une autre année plus « concurrentielle » ce film se serait retrouvé dans la catégorie « ces moments qui méritent que vous perdiez deux heures de votre temps ». Mais bon, c’est aussi tout le jeu d’un top 10. Or, je n’ai pas dix films qui m’ont fait plus jouir que celui-là.

On dira ce qu’on voudra, mais il y a quand-même de sacrés moments de cinéma dans ce film là. Et je ne vois d’ailleurs pas ce que je pourrais dire de plus au sujet de ce « Once Upon A Time… » Il ne fera pas que des heureux – c’est évident – et ne convaincra peut-être pas sur son intégralité. Mais pour tout le reste, moi je me délecte. Et au fond, c’est un peu pour ça que, moi, je vais au cinéma.

 

 

 

9. Le daim

 

Quentin Dupieux.

Faut-il vraiment que je vous présente Quentin Dupieux.

Pour ceux qui me suivent – vous le savez – il m’a fallu du temps pour adhérer au trip de Quentin Dupieux. Seulement voilà, avec « Wrong », « Wrong Cops » et « Réalité », je me suis retrouvé sur une pente du plaisir qui n’a jamais cessé de monter… jusqu’à s’écraser au sol avec « Au Poste ».

Si je précise tout cela c’est que – l’air de rien – refaire un film après « Au poste » n’avait rien d’évident. Dupieux avait-il déjà tout dit, atteignant le firmament de son art avec « Réalité » ? Faire autre chose était-il voué à une certaine forme « d’échec » comme pouvait le suggérer l’expérience d’ « Au poste » ? En cela « le Daim » apporte une réponse que je trouve plus qu’intéressante puisqu’au fond, avec ce métrage là, Dupieux revient à ce qui faisait sa force, tout en assumant son retour en France, actant ainsi un virage dans sa création.

Alors certes, pour moi ce film n’a pas le génie iconoclaste de « Réalité ». Il ne va pas aussi loin. Il a ses limites. Mais d’un autre côté, ces limites, ce « Daim » les assume.

Il se pose. Il cherche à dire autre chose. Il a le mérite de la brièveté.

Et au final on se retrouve quand même avec un film très Dupiesque, efficace, mais qui a aussi et surtout son originalité. Sa marque.

L’air de rien c’est un joli tour de force.

Moi, en tout cas, ce film il m’a marqué. Et c’est donc en toute logique qu’il figure dans ce top 10.

 

 

 

10. La grande aventure Lego 2

 

Je me souviens y être allé par principe. Le premier opus était si bien…

Seulement voilà, la multiplication des épisodes (pourtant peu nombreux) commençait déjà à m’user si bien que j’y suis quand-même aller à reculons.

D’ailleurs – et je sais que ce n’est pas très vendeur de dire cela – mais pendant vingt voire trente minutes, je n’ai vraiment pas été dedans.

Bien intentionné certes, mais très nerveux et surfant trop sur ce qui avait déjà été fait.

Il faut donc savoir être patient avec cette « Grand aventure Lego 2 » parce qu’en fin de compte, c’est quand-même sacrément généreux et – je trouve – vraiment malin et efficace.

Alors d’accord : ce n’est qu’un film « Lego » hein. Pas de bouleversement ni de révélation à attendre de ce côté-là.

Seulement voilà, ça n’en fait pas moins un film efficace qui m’a fait passé un très bon moment – que j’ai même d’ailleurs revu depuis – et, pour moi, le cinéma c’est aussi ça.

C’est aussi ces plaisirs là. Et moi ça ne me gêne absolument pas de fermer mon Top 10 avec ce film là. 

 

 

 

 

La suite pour bientôt…

(Mais pour quand ?)

 

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